Venu dans le but d'acheter des piĂšces pour retaper un vĂ©lo, j'ai Ă©tĂ© reçu par la femme du patron, qui ne m'a pas semblĂ© ĂȘtre trĂšs compĂ©tente et m'a dirigĂ© vers le patron.
AprĂšs avoir attendu que celui-ci discute avec son ami venu lui dire bonjour, j'ai eu le droit Ă une humiliation publique dans le magasin. Le patron s'est tout d'abord gaussĂ© de l'Ă©tat de mon vĂ©lo ("ha mais moi ça je fais plus, c'est de l'antiquitĂ©, qu'est-ce qui vous prend de vouloir remettre en Ă©tat un vĂ©lo pareil?"), a Ă©tĂ© d'une dĂ©sobligeance qui m'Ă©tait inconnue jusqu'alors ("Pour faire passer le filetage du pĂ©dalier avec celui de la pĂ©dale, il va falloir forcer ou sinon utiliser cet outil, mais moi je ne vous le prĂȘte pas, vous aller me le pĂ©ter, hĂ©ho") et a fini par me donner des informations...qui se sont rĂ©vĂ©lĂ©es fausses !
Le filetage de mes pédales était conforme aux pédales modernes (j'ai monté des pédales Décathlon, c'est dire...) et les freins qui étaient "grippés et inutilisables, vous allez vous tuer avec ça" ne nécessitaient qu'un changement de patin, etc etc...
Un service déplorable : à fuir !